vineri, 2 aprilie 2010

Jeanne Cherhal : Voilà L’eau, octobre 2006

C'est une histoire ancienne et pourtant c'est dans ma tête
J'ai beau lui dire vas-t'en, elle reste là
C'est un vieux souvenir un craquement d'allumette
J'ai beau lui dire fous le camp, il bouge pas

Voilà,voilà,voilà,voilà
Si seulement dans ce qu'on est on pouvait faire un choix
Seulement
Voilà
On peut pas

C'est comme une habitude, un peu comme une manie
J'aime la solitude jusqu'a la tyrannie
Viens pas me déloger de ma carapace quand j'hiberne
D'avance désolé pour mes coups dans tes lanternes

Le type !
J'aurai pu te l'écraser, j'aurai pu faire beaucoup mieux
J'aurai pu le déphraser avec mes yeux dans ses yeux
Arrière, arrière, arrière, arrière !!!
Mais rien j'ai pas bougé il a eu ce qu'il voulait

Voilà, voilà, voilà, voilà, voilà, voilà

REFRAIN

Ca y est, c'est décidé, je vais tout décider
Sans me faire envahir, sans me faire emmerder
Je n'écoute que moi qui ne veux que mon bien
Mais je parle si bas que finalement je n'entends rien

Si j'avais pu choisir entre moi et autre chose
C'est un peu moche à dire mais j'aurais pris autre chose
J'y pense assez souvent et je commence a m'y faire
Quand j'en aurai le temps, je finirai même par me plaire

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